Sunday, December 11

Throw-away Boats : The Gabares of the Dordogne

With thanks to Mike K-H --

Until I started exploring this region, I believed that ‘use it once, then throw it away’ was one of those dubious inventions of the twentieth century.

Wrong. For hundreds of years, ending around 1930, the ‘gabariers’ of the Dordogne have been building boats about 18 metres long and 4 metres wide, taking them on a hairy six-day trip from the upper reaches of the river right down to Bordeaux - and then breaking them up and selling them for firewood. They used to build and throw away about three hundred gabares each year!

Once you know the whole story, it makes sense. On the upper reaches of the river, the villagers spent the winter as lumberjacks, felling oaks and chestnuts and floating the logs down to the navigable section below Bort-les-Orgues. There, they were split into planks, beams, staves for making wine casks - and skinny leftovers destined to become beanpoles or structures for training grape vines. The less valuable timber was shaped, steamed and fastened into crude flat-bottomed wooden freight carriers, the ‘gabares’. They were caulked with oakum or moss, so the crew spent a lot of time bailing water out of these leaky craft.

Smaller, longer-lived boats were also built in the Limousin region. The commonest of these were the ‘gabarot’ (8 to 12 metres long) used for carrying cattle and small freight, the ‘batelet’, a 5 to 7 metre fishing boat, and the ‘nau’, a ferry. (The hamlet called Nauzenac, once a centre for construction of gabares, gets its name from this).

The gabares of the Dordogne were steered with a long pole with a small vane fixed to the end. The hinge was simple: the pole was lashed to a peg sticking up from the timber knee which reinforced the pointed stern of the boat. They were rowed with two ‘palas’ (plain poles five or six metres long) and fended off the banks and riverside trees with a ‘haste’ which was sometimes used as a quant pole, Norfolk Broads-style. On slower rivers like the Loire, gabares carried a mast and a simple square sail.

To reduce the hazards caused by rocks and rapids, the gabariers waited until the waters showed 1.5 metres deep at the marker in Argentat port – which typically happened for about thirty days each year. As the time approached, the gabares were built, and each was loaded with fifteen to twenty tons of the produce of the Limousin and Auvergne regions – anything from cheeses to coal.

The gabariers were a noisy, cheerful gang, whose confidence in their skills made them seem wild and reckless to ordinary folk. In their six-day voyage they had to navigate no less than twenty-five dangerous sections known as ‘malpas’. For any of you who have been whitewater rafting,just think what it would be like steering a twenty-ton wooden lighter with nothing but a long pole lashed to a peg! Small wonder that the eighteenth century French Navy recruited them as pilots for reef-strewn coasts.

The gabares met their demise with the arrival of trains, road haulage and the construction of dams on the Dordogne, but you can now travel in powered imitations of these vessels through the calm, heavily-wooded upper reaches of the Dordogne. If you want to try it, contact ‘La Dordogne en Gabare’ at Marcillac-la-Croisille, a few kilometres east of Tulle. Their telephone number is (+33) 5.55.27.68.05, FAX is (+33) 55.27.68.05 and their web site at fromagerie albaret . They only operate during a short summer period when the waters in the dams are high.

Tuesday, December 6

Restos du Coeur -- "Restaurants of the Heart" by warm hearted people

Sharing is Caring and to care is to live.........

Ma copine, Sue partage celle-ci avec nous:



Coluche a fondé les Restos du Cœur (RdC) en septembre 1985. C’est une association pour aider les pauvres et les SDF avec des repas gratuits en hiver et avec d’autres services pour faciliter leur réinsertion dans la société.

Coluche

Coluche était un homme remarquable – un polymathie- en même temps chanteur, animateur, humoriste, acteur dans les films et théâtres, impresario, stand-up comique et même candidat à l’élection présidentielle de 1981.

Né en 1944, il était un prototype de Bob Geldof, mélangé avec Richard Curtis et Lenny Henry. Il a entraîné ses copains du show-biz à participer dans sa nouvelle entreprise. Ca a attiré plus d’argent et de cachet pour donner aux RdC une réputation nationale. Coluche, avec son humour et son influence, a fait honte à l’administration sur la question des personnes démunies.

Malheureusement il est mort dans un accident de moto en 1986 mais, pendant l’hiver 1985-86 il a ouvert quelques centres pour distribuer 8,5 millions de repas par cinq mille bénévoles. C’est impressionnant pour un début !

Coluche et puis son ex-femme Véronique Colucci ont persuadé l’administration de réduire les impôts sur les dons. Président Mitterrand l’a approuvé et même Monsieur Sarkozy a augmenté le plafond des dons. C’est la loi Coluche.

Comment les RdC marchent ?

Il y a cent treize associations autonomes dans quatre-vingt seize départements avec quarante mille bénévoles.
Le but est de redonner aux bénéficiaires l’envie de re trouver une place dans le monde
Ils donnent à chaque famille chaque semaine en hiver les besoins pour manger un repas chaud chaque jour.
Ils reçoivent un sac avec les denrées pour la famille puis ils ont les points pour leur permettre de choisir la viande, les fruits et légumes, les congelés et, à Neuvic, les plats préparés. Ces plats sont préparés par les prisonniers du centre de détention de Neuvic qui suivent une formation culinaire.
Le centre ressemble à un magasin avec les rayons, les chariots et une caisse.

Qui viennent aux RdC?

Il y a des chômeurs, les SDF, les jeunes mamans, les familles avec un bas revenu, les personnes âgées etc. Souvent, parce qu’ils sont trop fiers de venir au centre le plus proche, ils vont à la ville voisine. Ils ont peur que tout le monde ne sache leur situation.

En Dordogne


Il y a vingt sept centres dont les premiers ont ouvert en 1989 avec 420 bénévoles et cinq mille bénéficiaires
Ils distribuent 500,000 d’équivalent repas chaque campagne qui ouvre au milieu de décembre jusqu’au fin mars.
Les villes principales accueillent un RdC mais aussi les villes où on penserait qu’il n’y a pas des pauvres, comme Lalinde, Sarlat, Le Bugue, Gardonne
Aussi bien que les repas il y a un Car de Cœur à Périgueux qui sillonne les rues avec les repas chauds, aussi préparés dans la prison, pour les sans-abri.
Les bénévoles aident les clients avec des renseignements ; les accompagnent aux bureaux, aux mairies etc. ; les écoutent; et les encouragent

Quant aux ressources ?

Les employeurs, tel que EDF et Groupe Accor, peuvent devenir partenaires avec des produits, des compétences, de l’aide logistiques et de l’emploi de réinsertion
Les particuliers et les groupes peuvent donner de l’argent sous la loi Coluche
Les Enfoirées – selon Coluche, il faut toujours faire la fête ainsi il y a des évènements sportifs, artistiques et festifs régionaux et nationaux. Les potes de Coluche font des CDs et concerts tel que le dieu de la France Johnny Hallyday, Michel Sardou, Jean-Jacques Goldman, Eddy Mitchell, Maxime le Forestier, Muriel Robin et Mimi Matty.
Chaque année une soirée de télé est consacrée aux RdC avec un concert, un quiz et un documentaire
· Quatre-vingt-dix pour cent des ressources sont pour les actions directes, les repas et les activités comme le jardin d’insertion à Montpon


TAGS: Christmas in the Dordogne

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